L'odysée de l'Ulukyn de lumière

Voici mon histoire...


Pleine de mistères et de questions
L'histoire du jeune Ul U'Kyn
Porteur du médaillon
qui à l'approche d'un homin
révèle ses intentions....


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Mes souvenirs sont peu nombreux.
Le visage qui à jamais ne s'effaçera de ma pensée et bien entendu celui de ma mère. Souriante certes, mais son apparente joie cachait une terrible angoisse.
Certaines homines peuvent sentir la venue de malheurs, de pleurs et de
souffrance. Ma mère était l'une d'elles...

Mes parents sont morts alors que je n'avais que 6 ans.
Kamistes, il furent tués par d'autres kamistes, des extrémistes: les obscures. Mes parents avaient été considérés comme traitres pour avoir aidés des karavaniers.

La religion n'a jamais été ma préoccupation première. J'avais des amis dont les parents étaient karavaniers, d'autres kamistes. Au final, l'important était de pouvoir s'amuser ensemble.

Après la mort de mes parents, ma vision des choses ne fût plus jamais la même. L'équilibre est la base de tout dans ce monde. Un homin qui se retrouve à une extrémité, peu importe laquelle, est un homin perdu.
L'équilibre dont j'avais besoin me fût donner par Kal'Gonh le kamis de la 5ème racine. Je n'ose imaginé la tournure que j'aurais pris si la karavane m'eu recruter.

Ayant atteind l'age pour prendre mes propres décisions, Kal'Gonh pris des
dispositions pour me faire voyager jusqu'à Silan. Il me confia également ce qui devint le dernier souvenir réel de mon père :

Le médaillon de lumière!
Un médaillon de sève dorée n'ayant pour seul décoration qu'un symbole étrange.

Après ma formation sur Silan je me fît téléporter à Fairhaven capitale des lacs. Un pays tout en beauté, visuellement si proche de là d'où je viens.
J'y fît des rencontres, en apris d'avantage sur Atys, ses peuples, ses guildes. Des découvertes aussi : villes, faune, flore, techniques de combat, de soins, etc...

Mais la plus importante de mes découvertes fût celle du secret du médaillon que je porte au plus près de mon coeur.
Ce médaillon, que je pensait ordinaire, possède en réalité la capacité de révéler la valeur des homins, de révéler leur lumière.
La lueur que dégage mon médaillon est un indicateur sûr, dans lequel j'ai une confience absolue.

Depuis mon arrivé sur le continent, il ne cesse de s'illuminé...

J'ai parcouru les lacs, visiter la capitale Fairhaven, ainsi que les villes de Windermeer, Avendale et Crystabell.

J'ai pu rencontrer de nombreux homins, Tryker mais aussi Zoraï, Matis et Fyros. Certains sont de toutes évidence des homins de lumière, mais j'ai pu m'apercevoir que bon nombre ont un coeur aussi sombre que les habits de la karavan.

J'ai été accueillit au cénacle d'ambre. Un regroupement d'homin de tous pays qui s'entraident et prennent beaucoup de plaisir à vivre sur l'ecorce. On m'y fournit de quoi m'alimenter, me vétir, m'entrainer.
Je doit beaucoup à Achilleos et Samm, ainsi qu'à tous mes autres compagnons d'aventures.

Mais ma plus merveilleuse rencontre fût sans nul doute celle de Shaliss O'Laegon. La plus belle des Trykette d'Atys. Intélligente et drôle, elle à su me surprendre dès les premiers jours et jusqu'à maintenant. M'émmerveiller, me rend fou amoureux pour elle.

Nous ne pouvons plus nous séparer l'un de l'autre, et nous aurions pu écrire nos aventures tant elle sont pleines de folie, de joie et de tristesse, d'amour et de passion. Je pourrai passer mes nuits à vous dre combien elle est formidable et combien je l'aime. Mais je vous en fait grâce et ne vous dirais qu'une chose : Quand on rencontre pareille homine, on ne peut vivre que pour l'aimer.

Je l'ai demander en mariage, aux bains de Pyr. L'intervalle de temps entre ma question et sa réponse me parru si long que j'eu suspecter Ma-Duk d'avoir arréter l'horloge d'Atys.
Elle me répondit : OUI, JE LE VEUX!
Mon coeur s'emballa si fort que l'eau se mit à remuer violement aux rythme de mes battements de coeur.

Je suis un homin comblé à présent et je souhaite à tous de connaitre pareil bonheur.